mardi 16 février 2010

Resto ABBA - midi

J'avais prévu d'aller au cyber avant de déjeuner, mais il est 13.30 et un allien a pénétré dans mon estomac pour me rappeler que je devais avaler qqch.

Autour de moi des gens qui écrivent, qui dessinent, seuls. Des groupes. Des couples d'homos. Des familles. Le nombre de familles qu'il y a ici m'impressionne. Cela dit, je ne les ai croisé que dans les grands lieux touristiques. Pas vraiment dans mon train de nuit à Cochin, encore moins dans Old Delhi et son souk.

Moi, je mange une salade niçoise (qu'on écrit nisause, ici, j'ai compris ça quand le type me l'a annoncée en me l'amenant) avec de la baguette à l'ail, dans un resto indo-suédois dénommé ABBA, sur un fond de Bob Marley. Multiculturel, on dirait au Club Med.

Plus tard sur la plage...
On m'avait parlé des indiens qui ne sont sur la plage que pour mater les filles en maillot. Jusqu'à présent, je n'en avais as vus. ou alors, ils étaient relativement discrets, tout au moins autant que nos gars à nous sur nos plages à nous.
Là, celui que je vois n'a rien de discret : au lieu de tranquillement longer le rivage et regarder le paysage côté plage, il arpente chaque centimètre carré de sable en regardant bien tout ce qui est féminin et au sol. Evidement surtout celles qui font du monokini, mais à la limite, c'est bien leur problème vu que c'est interdit ici.

Je lui ai demandé si la vue lui convenait. Et au signe que je lui ai fait (2 doigts en direction des yeux puis en direction de la plage), il n'y avait pas de problème de comprehension sur le fond de ma pensée.

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